Le numéro de matricule des policiers passe inaperçu dans les cités

  • il y a 10 ans
Milieu d'après-midi, hall du "29 Ravel" à Sarcelles (Val-d'Oise), trois adolescents squattent. L'un d'eux fume un joint. Contrôle policier tendu. La routine pour le brigadier Debaer, qui porte sans conviction un numéro d'identification