Le phénomène Bernhoft revient avec "Islander"
- il y a 10 ans
Une plongée dans le monde de l’artiste norvégien Bernhoft avec “Come around”, premier extrait de son nouvel album solo “Islander”.
Multi-instrumentiste, influencé par la soul de Stevie Wonder et Sly Stone, Jarle Bernhoft a 37 ans, il vit à New York et a déjà conquis les mélomanes du monde entier :
“Stevie Wonder ne quittera jamais mon système, il est juste là, immergé en moi. En grandissant, j’ai écouté des artistes qui avaient été influencés par Stevie Wonder et d’autres avant eux, mais Stevie Wonder, c’est comme une sorte de port d’attache vous savez, ou plutôt comme un serveur informatique pour tout ce qui tourne autour de la musique soul.”
Parti à la conquête du vieux continent avec “Solidarity breaks”, sur scène, son impressionnant manège solo a séduit le public.
Bernhoft possède son propre label et encourage tous les artistes à faire de même :
“C’est très bien dans le sens où tu planifies ton temps, tu t’organises toi-même. Les gens ne veulent pas jouer alors ok, tu fais tes trucs et puis tu vas voir quelqu’un d’autre. Si vous êtes chez Universal, ça peut être merveilleux si tout se passe bien mais si ça se passe moins que bien, alors bye-bye. Je n’ai pas à gérer ça.”
Bernhoft est en tournée ce printemps en Europe, Paris (22 mai au Bataclan), Anvers, Zurick , Cologne, Hambourg, Berlin, Manheim, et puis ce sera les Etats-Unis.
Multi-instrumentiste, influencé par la soul de Stevie Wonder et Sly Stone, Jarle Bernhoft a 37 ans, il vit à New York et a déjà conquis les mélomanes du monde entier :
“Stevie Wonder ne quittera jamais mon système, il est juste là, immergé en moi. En grandissant, j’ai écouté des artistes qui avaient été influencés par Stevie Wonder et d’autres avant eux, mais Stevie Wonder, c’est comme une sorte de port d’attache vous savez, ou plutôt comme un serveur informatique pour tout ce qui tourne autour de la musique soul.”
Parti à la conquête du vieux continent avec “Solidarity breaks”, sur scène, son impressionnant manège solo a séduit le public.
Bernhoft possède son propre label et encourage tous les artistes à faire de même :
“C’est très bien dans le sens où tu planifies ton temps, tu t’organises toi-même. Les gens ne veulent pas jouer alors ok, tu fais tes trucs et puis tu vas voir quelqu’un d’autre. Si vous êtes chez Universal, ça peut être merveilleux si tout se passe bien mais si ça se passe moins que bien, alors bye-bye. Je n’ai pas à gérer ça.”
Bernhoft est en tournée ce printemps en Europe, Paris (22 mai au Bataclan), Anvers, Zurick , Cologne, Hambourg, Berlin, Manheim, et puis ce sera les Etats-Unis.