Nouvel ultimatum des séparatistes de Donetsk
- il y a 10 ans
La tension est toujours aussi grande en Ukraine.
Les séparatistes pro-russes de la république autoproclamée de Donetsk ont fixé un ultimatum : les troupes ukrainiennes ont jusqu‘à ce jeudi soir 18 heures GMT pour quitter la région. Dans le cas contraire, ils utiliseront la force pour les obliger à se retirer.
Dans la zone de Sloviansk, les combats entre séparatistes pro-russes et soldats ukrainiens se déroulent presque toutes les nuits.
Ils ont fait de nouveaux blessés parmi les soldats ukrainiens près
de Kramatorsk.
Si Kiev se dit prêt à écouter l’Est du pays, pas question de céder au chantage des séparatistes. Le pouvoir central l’a répété hier au cours d’une première table ronde. Pour tenter de mettre fin à la crise, le Premier ministre prône une décentralisation pour confier plus de pouvoir aux autorités régionales. Mais le dialogue est au point mort, chacun campant sur ses positions.
A 10 jours d’une présidentielle soutenue par la communauté internationale, Moscou continue de critiquer les autorités de Kiev parlant d’un pays au bord de la “guerre civile”.
Les séparatistes pro-russes de la république autoproclamée de Donetsk ont fixé un ultimatum : les troupes ukrainiennes ont jusqu‘à ce jeudi soir 18 heures GMT pour quitter la région. Dans le cas contraire, ils utiliseront la force pour les obliger à se retirer.
Dans la zone de Sloviansk, les combats entre séparatistes pro-russes et soldats ukrainiens se déroulent presque toutes les nuits.
Ils ont fait de nouveaux blessés parmi les soldats ukrainiens près
de Kramatorsk.
Si Kiev se dit prêt à écouter l’Est du pays, pas question de céder au chantage des séparatistes. Le pouvoir central l’a répété hier au cours d’une première table ronde. Pour tenter de mettre fin à la crise, le Premier ministre prône une décentralisation pour confier plus de pouvoir aux autorités régionales. Mais le dialogue est au point mort, chacun campant sur ses positions.
A 10 jours d’une présidentielle soutenue par la communauté internationale, Moscou continue de critiquer les autorités de Kiev parlant d’un pays au bord de la “guerre civile”.