L'aura du large
- il y a 10 ans
« L’aura du large », c’était le début d’une conclusion. La fin d’un été au milieu de celui-ci. Ma quatrième saison parce qu’il ne peut en avoir une cinquième.
« L’aura du large », c’est un vrai moment poétique vécu en pleine conscience de l’instant…quelques minutes. Le temps d’être enveloppé par un brouillard tenu et rapidement arrivé au bord de la mer, très loin de la plage, sur une marée basse de forte amplitude. Les bretons connaissent bien cette aura du large…
Alors, ici, il me fallait la prendre en image. Puis l’écrire. Mais en fait, également la raconter sur une musique racontant la mer : « Tabarly » de Yann TIERSEN et ce morceau appelé « Point mort ». Parce que si la mort devait avoir ce gout, alors, je m’en souviendrai le jour venu. Puisque qu’une partie de moi est bien parti au large, ce soir-là, avec ses enfants...ses oiseaux.
Avec deux Ailes
« L’aura du large », c’est un vrai moment poétique vécu en pleine conscience de l’instant…quelques minutes. Le temps d’être enveloppé par un brouillard tenu et rapidement arrivé au bord de la mer, très loin de la plage, sur une marée basse de forte amplitude. Les bretons connaissent bien cette aura du large…
Alors, ici, il me fallait la prendre en image. Puis l’écrire. Mais en fait, également la raconter sur une musique racontant la mer : « Tabarly » de Yann TIERSEN et ce morceau appelé « Point mort ». Parce que si la mort devait avoir ce gout, alors, je m’en souviendrai le jour venu. Puisque qu’une partie de moi est bien parti au large, ce soir-là, avec ses enfants...ses oiseaux.
Avec deux Ailes