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Condamné du mardi 13 à deux ans de peine de prison avec sursis pour corruption et de plus en plus isolé, Bernard Laporte a accepté lundi soir de se faire "se retirer" de ses fonctions en tant que président du FFR en attendant son procès d'appel, mais ne démissionnera pas également. Il égalementa proposé son remplacement par un président provisoire de partie. "Nous allons dire qu'il s'agit d'une première prise de conscience. Maintenant, le retrait que nous devons comprendre exactement ce que cela signifie, ce n'est pas un concept prévu par les textes etPar les statuts, nous devons donc comprendre quelles garanties elles sont accompagnées ", a déclaré le ministre des Sports au microphone de France 2. Une réunion avec le comité d'éthique ce mardi Nommez un président délégué "soulève également un certain nombre de questions, durée, de la légitimité, du périmètre, de la validité juridique et tout cela doit être examiné", a continué Amélie Oudéa-Castera, qui doit recevoir Bernard Laporte jeudi.allait d'abord, ce mardi après-midi, pour rencontrer le président du comité d'éthique du FFR, qui avait demandé le retrait de Bernard Laporte. Sans neuf mois de la Coupe du monde 2023 organisée en France ,"La situation entrave ce qu'il est le président dans le mandat de cette fédération", a ajouté le ministre. En fonction depuis la fin de 2016, M. Laporte, réélu en 2020 pour un mandat de quatre ans, a été reconnu coupable le 13 décembre sur cinq des six infractions pour lesquelles il a été poursuivi, y compris ceux de la corruption passive et de l'influence du traficLe fait de faire appel de la décision du tribunal pénal de Paris, sa peine de prison avec sursis, ainsi que l'interdiction d'exercer l'activité du président du FFR pendant une période de deux ans, ne sont pas immédiatement exécutoires.